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 Laisse tomber la paperasse | William

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Kai M. Lovelock
Kai M. Lovelock


Métier : Prof de surf.
Statut : En couple... enfin je pense.
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Date d'inscription : 28/05/2014

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MessageSujet: Laisse tomber la paperasse | William   Laisse tomber la paperasse | William EmptyMer 2 Juil - 0:43

laisse tomber la paperasse.

Prenant appui sur ses jambes, Kai se laissa aller à prendre une vague assez importante. Il la chevaucha quelques instants puis elle disparut comme elle était arrivée. Ce qui était bien avec la mer c'est qu'elle était indomptable. Elle pouvait être calme et l'instant d'après faire chavirer le plus gros des bateaux. C'était ce qui avait attiré le brun lorsqu'il avait essayé pour la première fois le surf, cette impression de ne rien contrôler. Parce que même si on avait le sentiment que l'on contrôlait la vague, ce n'était absolument pas le cas. Un seul moment d'inattention et l'on pouvait se perdre dans l'immensité bleue. Malgré sa faible constitution, Kai avait toujours aimé venir à la plage lorsqu'il pouvait se déplacer et avait appris à surfer par lui-même parce qu'il avait tendance à penser qu'il était libre de tout mouvement alors que les eaux faisaient ce qu'elles voulaient de lui. Il avait toujours aimé l'eau et c'est tout naturellement qu'il avait fait du surf son métier. A chaque fois qu'il prenait sa planche, un sourire radieux s'affichait sur son visage et il oubliait instantanément tous ses soucis. Il faisait le vide dans sa tête et laissait son esprit vagabonder avec l'écume. Il était plus vivant que jamais et vraiment lui-même que lorsqu'il pouvait sentir le vent dans ses cheveux, l'eau qui l'éclaboussait et le soleil qui tapait sur sa peau. Perdu dans ses pensées, Kai ne vit pas arriver l'une de ses élèves sur lui. Il se retrouva dans l'eau et aida la jeune fille a revenir sur la plage. « Je suis désolée monsieur Lovelock. » Le jeune homme lui sourit. « Ce n'est pas grave Ana. » Les joues de la blonde se teintèrent de rouge tandis que le surfeur la laissait sur place. Il avait un certain charme et il plaisait énormément que ce soit dans la communauté hétérosexuelle féminine que celle homosexuelle. Seulement, même si ce n'était pas un secret, Kai était gay mais ne le criait pas sous tous les toits. Il s'amusait de voir avec quelle insistance ses élèves lui faisaient du rentre dedans. Ce n'était pas désagréable du tout même si ce n'était pas fait par la personne dont il était amoureux.

Secouant la tête, le brun refusa de penser à lui. S'il le faisait, il allait encore déprimé et il n'en était pas question. Kai jeta un coup d'œil à sa montre et se rendit compte qu'il était plus que temps d'aller le matériel dans la boutique de surf. Sa journée de travail était terminée depuis quelques minutes maintenant, mais il fallait encore qu'il mette en ordre la boutique. Normalement, à cette heure-ci, il ne devait y avoir personne dans le bâtiment. Quelle ne fut pas sa surprise quand il vit William affairé à classer des papiers. Souriant, le jeune homme laissa sa planche à l'entrée et se dirigea vers son ami qui était concentré. « William, qu'est-ce que tu fais encore là ? » Kai fut surpris de ne pas recevoir de réponse. Soit William l'ignorait totalement soit il était tellement absorbé par son travail qui ne l'entendait même pas. Poussant un soupir, le prof couvrit de ses mains les yeux du directeur de communication. « Devine qui c'est, monsieur le bourreau du travail ! » Son acte était totalement puéril, il le savait mais ça l'amusait de taquiner son ami alors qu'il travaillait encore. « T'as pas bientôt fini de rester enfermé ici. » Kai était un homme de la nature dirons-nous et il ne supportait pas de devoir rester enfermé quelque part et surtout pas pour travailler. C'était sûrement du au fait que lorsqu'il était enfant, il ne pouvait pas quitter sa maison parce qu'il tombait facilement malade. Mais maintenant qu'il avait grandit et qu'il était devenu plus robuste, c'était impensable pour lui de s'enfermer dans une pièce toute une journée. « Viens, allons taquiner les vagues ensemble. » A son arrivée ici, c'était Kai qui avait pris en charge de guider William sur l'île et lui avait transmis son amour de la mer. Il n'était pas peu fier de ça d'ailleurs.

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William B. Simpson
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MessageSujet: Re: Laisse tomber la paperasse | William   Laisse tomber la paperasse | William EmptyJeu 3 Juil - 19:58

laisse tomber la paperasse.

Des dossiers à rendre, des candidatures à consulter, des profils à vérifier, des flyers à envoyer. Ca parait attractif et dynamique le boulot de directeur de communication sur papier, mais ça l'est beaucoup moins en direct. Il y a " communication " donc on se dit que ça doit être vivant, humain. Du moins, c'est ce que je me suis dis quand j'ai choisi ma spécialisation lors de mon master, mais une fois sur le terrain, il faut bien avouer qu'on communique beaucoup plus avec son ordinateur ou par l'intermédiaire de courrier qu'avec de vraies personnes intéressantes. Je gère les mannequins mais je ne les vois pratiquement pas. Je choisis les sportifs mais ce sont les assistants qui les rencontrent le plus souvent. Je contrôle juste les publicités mais je n'y participe pas. Autant dire que ce n'est pas tous les jours la joie et que j'attends avec impatience le rendez vous où je vais devoir être présent pour faire enfin ce que j'aime : parler, communiquer, agir. Mais ce n'est visiblement pas dans le programme de la journée. Les uns entrent, les autres sortent, mais chacun à un petit truc à me demander, petit truc qui n'ait pas grand chose pour lui mais qui s'ajoute à la pile de paperasse qu'il me reste à caser avant la fin de la journée pour ne pas me noyer dessous demain. C'est ainsi qu'à 18 heures, je remercie Bianca et la laisse rentrer. Qu'à 18h30, je salue Clark qui s'en va rendre visite à sa soeur, autrement dit mon ex femme et ma fille. Et qu'à 19h, je jette un coup d'oeil sur ma montre pour me rendre compte que je suis encore assis derrière ce fichu bureau. Et là, l'inattendu se produit.

Je sais, vous vous attendez à Miss Monde qui passe la porte de mon bureau mais non, c'est juste quelqu'un qui pose ses mains sur mes yeux. C'est rien n'est-ce pas ? Oui mais ça fait bouger ma journée, surtout que je reconnaitrais cette voix parmi 1000 et je peux vous dire qu'il s'agit de Kai. Heureusement qu'il est là celui là, encore une fois. Il a toujours été là pour me sortir de mes galères psychologiques. " Tu crois encore qu'il y a quelqu'un d'autres que toi pour me faire ça, Kai ? "lançais-je en riant avant de me retourner sur ma chaise pour faire face à mon ami. Souriant, bronzé, visiblement épanoui et heureux. Enfin un visage rayonnant qui illumine la pièce. Un vrai rayon de bonheur celui là. Mais ça je ne lui dirais pas comme ça, il ne faudrait pas qu'il se fasse des idées non plus.. Car oui, Kai est gay. Loin de moi l'idée que ça me dérange, au contraire, je peux lui parler de femmes sans craindre qu'il me les pique. Mais c'est vrai que je vais quand même éviter de le taquiner sur des sujets qui pourrait être ambigue. Quoi que. Ca pourrait être drôle de voir comme il réagit. je hausse les épaules quand il me demande si je n'ai pas bientot fini et répond, dépité " J'te jure, je sature ! Y'en a toujours autant alors que je bosse comme un fou toute la journée ! On dirait pas que les gens sont si exigeants pour faire du surf mais je t'assure que si. " Là encore. Qui ça ne ferait pas rêver de bosser pour une boite de surf ? Personne. Mais quand on voit ce que je fais, je peux vous assurer que rien de tout ça ne tient du rêve. Ou du moins pas du mien. Et là, avec son air joyeux, Kai me propose d'aller faire un tour sur l'eau. Instinctivement je dis " Hm, j'aimerai trop mais tu sais j'ai pas fini et.. " et puis je me rends compte qu'une fois de plus je me prive et je ne fais pas ce que je veux. Donc, au diable la paperasse je me reprends " Non en fait oublie ça, on y va de suite ! J'en ai trop besoin ! " tout en me levant d'un bon de ma chaise.

Je me retrouve donc très vite au niveau de Kai, lui mets une tape sur l'épaule tout en lui disant " On passe au magasin pour récupérer ma planche et c'est parti ! " Ca y est, l'enthousiasme me guette, comme un enfant qui va avoir son cadeau de Noel à 23h30 au lieu de minuit. Un enthousiasme assez surdimensionné mais typique pour moi. Je laisse à peine Kai sortir que j'ai déjà fermer derrière lui, sans ranger quoi que ce soit. Ca aussi au diable ! Nous arrivons très vite à l'air libre, enfin. A l'heure où le soleil commence à se cacher, nous laissant profiter de l'air frais du début de soirée. " T'as été tellement bien inspiré de passer ! Ta journée ça a été ? "
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Kai M. Lovelock
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MessageSujet: Re: Laisse tomber la paperasse | William   Laisse tomber la paperasse | William EmptySam 12 Juil - 23:54

laisse tomber la paperasse.

Kai aimait s'amuser à taquiner leur directeur de communication en usant de jeu puéril comme de mettre la main sur les yeux et en demandant qui c'était. Il trouvait ça tellement marrant de le déconcentrer de son travail qu'il n'avait pas hésité une seule fois quand il avait vu que William ne pas répondre à son appel. Le blond était tellement absorbé dans son travail qu'il ne l'avait même pas capté dans la boutique. Sa remarque sur le fait qu'il n'y avait personne d'autre que lui pour faire ce genre de chose lui tira un sourire. Sourire éclatant qu'il garda lorsque son ami se retourna pour lui faire face. En toute innocence, le brun leva les mains en l'air comme pour prouver que ce n'était pas lui le coupable. Mais comme ils n'étaient que tous les deux dans le bureau de Willy, cela ne pouvait être que Kai le responsable. Le surfeur demanda alors si le directeur n'avait pas bientôt fini de travailler. Depuis qu'il était arrivé sur les îles Cook, William était un vrai bourreau de travail. Même s'ils s'amusaient de temps à autre, le blond était sérieux trop souvent. Le maori n'arrivait pas à se projeter dan la vie de ce new-yorkais. Pour lui, il n'y avait que le sable, l'océan et l'air pur des îles qui valait le coup. Il n'arrivait pas à se voir assis derrière un bureau pendant toute une journée de travail. Il avait besoin de se sentir libre et pas enfermé. N'importe quel moyen était bon et c'était dans le surf qu'il avait trouvé cette liberté. Encore une fois, la réponse de William fit sourire Kai. Et oui, les gens étaient de plus en plus exigeants et ne savaient pas apprécier le véritable esprit du surf. Certes, pour vivre, il fallait bien faire connaître la boutique. Mais c'était maintenant devenu plus marketing qu'autre chose et cela lui déplaisait un peu. « Je comprends ce que tu veux dire. Même si ce n'est pas la même exigence de mon côté, les nouveaux veulent apprendre à tenir sur une planche et à surfer sur une belle vague dès le début. Sauf que c'est impossible tant que tu n'as pas les bases. Mais bon, tu as beau leur expliquer qu'il faut du temps pour avoir le même niveau qu'un prof, ils en démordent pas, ils veulent y être de suite. »

Exaspéré par le comportement de ces personnes, Kai leva les yeux au ciel. L'humain était par nature trop exigent envers les autres et un peu moins envers lui-même. Il proposa alors à son ami d'aller faire du surf. William refusa. Le brun ouvrit la bouche pour répliquer qu'il fallait qu'il s'amuse avant de devenir trop vieux pour taquiner les vagues. Déjà, qu'il n'était plus tout jeune. Mais ça, le prof se garda bien de le dire. Seulement, l'appel de l'océan était beaucoup plus important que quelques bouts de papiers sur un bureau climatisé. L'air frais des vents marins était plus rafraichissant qu'un air rafraichit avec une machine. Alors quand il changea d'avis, un nouveau sourire éclatant s'afficha sur les lèvres de Kai et c'est ainsi qu'il sortit du bureau de William pour passer dans le magasin chercher sa planche. La sienne était à l'entrée et donc, il n'avait pas besoin de la chercher pendant cinquante ans. Willy ferma la porte de son bureau et demanda à Kai comment s'était passée sa journée. Il soupira avant de répondre. « Oh tu sais la routine. Des filles qui viennent baver sur mon corps et mon visage et me demande mon numéro. Elles sont tellement choquées quand je leur dis que c'est plus leur frère, leur copain ou leur père qui me feraient de l'effet. » Il ricana légèrement en repensant aux têtes de ces minettes qui le délaissait quand elles apprenaient qu'il était gay. « Je sais que c'est pas écrit sur mon visage, mais bon quand même ça se voit bien que j'ai pas de réaction en dessous de la ceinture quand je les vois en bikini ? Apparemment, elles, elles le voient pas que mini Kai reste au repos en voyant leur corps. » Mini Kai se levait simplement pour les mecs qu'il trouvait à son goût mais surtout pour Joseph. Oui le corps de Joseph le faisait plus rêver que celui d'une fille. Les filles n'avaient pas ce qu'il fallait entre les jambes pour le faire bander. Il ne se souvenait même pas avoir ressenti du plaisir pour une seule femme. Enfin, ce n'était pas le sujet et il n'avait pas envie de penser à celui qu'il pensait être son copain.

« Bref, c'est lourd de les voir minauder et glousser voir même rougir quand je les aide à tenir sur la planche. » Kai leva une fois de plus les yeux au ciel et observa William prendre sa planche. Il se détourna pour laisser une intimité à son ami afin qu'il puisse mettre son maillot de bain. « Et toi ta journée William ? Ne me dis pas que tu l'as passé dans ton bureau à faire de la paperasse et à répondre au téléphone ? »

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MessageSujet: Re: Laisse tomber la paperasse | William   Laisse tomber la paperasse | William EmptyJeu 17 Juil - 17:22

laisse tomber la paperasse.

" Ils fantasment tous sur ces films de surfeurs ! Les femmes veulent se trouver le blond à la crinière rebelle et les hommes veulent devenir ce blond, même s'ils sont roux et mal dans leur peau ! Enfin bon, c'est la magie du surf n'est-ce pas ? " lançais je avec ironie à mon ami, m'amusant avec lui du comportement de certains clients. Nous n'avons vraiment pas les mêmes métiers mais on peut clairement dire qu'on a les mêmes clients,  qui passent d'abord par chez moi avant de rejoindre Kai sur le sable et ce sont les mêmes phénomènes au départ qu'à l'arrivée. Ils ont au moins le mérite de nous faire rire à leur dépend pendant nos moments de pause. Certes je suis assez mal placé pour parler de ces gens là car j'étais aussi comme eux il y a de ça quelques années mais je peux avouer assez modestement que je me suis assez vite intégré dans l'ambiance des îles, comprennant comment les choses marchent ici. Ce n'est pas en frimant qu'on se fait connaitre car la frime se remarque à des kilomètres et généralement ces gens là sont tout à fait ridicules à coté des locaux.

Enfin bon, fini de parler de ces personnes qui n'en vallent pas vraiment la peine et revenons à nos journées, nos occupations et surtout parlons de tout ça sur le chemin de la boutique, direction la mer. Qu'est-ce que j'ai hâte d'oter cette chemise, d'enfiler ce short et de me jeter à l'eau sur ma planche. Le bonheur du soir. La libération. La différence indiscutable entre un directeur new-yorkais et un directeur ici. La vie n'est même pas comparable. J'écoute donc mon ami m'expliquer ses mésaventures de la journée avec toutes se femmes qui lui courent après alors que monsieur est gay. Ca me fait toujours autant rire de l'imaginer dans de telles situations. Surtout qu'il faut l'avouer, Kai est un beau gosse, un surfeur qui les fait toutes craquer. Le genre de mecs que les femmes regardent passer sur la plage avec la langue qui pend et les petits rires entre elles. Mais il est gay. Et ça doit être tellement hilarant de voir leur réaction. " Hé non, elle ne le remarque même pas parce que justement en dessous de leur ceinture à elles ça commence à s'échauffer quand elles te voient ! Penses un peu à leur pauvre petit coeur en manque de se.. enfin d'amour quoi ! "Je ris à cette réplique tout en lançant un regard complice à Kai " N'empêche que la prochaine fois que des jolies blondes bavent devant ton corps de rêve, conseilles leur gentiment d'aller faire un tour chez le directeur pour avoir des cours en plus " suivi d'un petit clin d'oeil. Et oh, on n'est pas tous gay ici  Je respecte totalement, je l'accepte à trois cents pour cents mais je ne partage pas et je compte bien récupérer ses conquêtes tristes et en manque d'affection.  

J'entre donc dans la boutique, et me dirige vers mon casier où se trouve gentiment posé mon short de bain. Sans perdre de temps, j'enlève cette chemise qui m'étouffe et mon pantalon avant d'enfiler mon short, prêt à me mettre à l'eau. Manque plus que la planche. Et pendant que je pars à la recherche de cette dernière, je réponds à Kai " Et si.. Encore une ! Vivement que je retourne examiner les shooting photos je t'assure ! " C'est quand même plus agréable, avouons le. Oh ma planche, tu es là. " Mais pour l'instant, allons dompter les vagues ! " lançais je en tapant sur l'épaule du brun, m'engageant devant lui, ma planche sous le bras. Je le laisse sortir, ferme la boutique, cache la clé derrière le coquillage, parce que oui, c'est pas des pots de fleurs ici mais des coquillages. Et je m'engage ensuite en direction de l'océan, à quelques pas d'ici. Mes pieds ne tardent pas à se voir recouvrir par l'eau salée et quelles sensation agréable. Je pose ma planche après avoir fait quelques pas dans l'eau, appréciant le silence du moment avant de dire, avec humour, à Kai " Essayes de ne pas me ridiculiser s'il te plait, j'ai une sorte de réputation à tenir ! "
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